Les habitudes alimentaires des jeunes

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’obésité a atteint les proportions d’une épidémie mondiale conduisant à une augmentation des maladies chroniques associées. En effet l'OMS classe la population mondiale en différentes tranches selon leur Indice de Masse Corporelle (IMC) qui se détermine selon notre âge, sexe, taille et poids. Même si des alternative existe à l'IMC tel que La Bio-impédancemétrie (BIA)(plus précis car peut calculer les différentes masses de notre corps indépendamment :muscle, graisses, …) l'IMC reste la référence de cette classification internationale.

En effet le problème du sur-poids et plus loin l’obésité touche de très nombreux pays développer comme par exemple selon du étude réaliser en France par le centre de recherche Épidémiologie et statistique de la Sorbonne en 2015 nous informais que chez les enfants, cette prévalence était de 16% chez les garçons et 18% chez les filles. Ceci est un problème car l’excès que graisses saturées, glutamates, conservateurs,… fournis par les aliments issu des industries agro-alimentaires peut engendrer de sérieux troubles sanitaire pour les jeunes et moins jeunes concernés (principalement des maladies cardiovasculaires).

Effectivement une étude (issu de l'OMS) démontre que 13% des personne de moins de 30 ans ayant atteint un poids de 25 kg/m² sont sujet a une mortalité prématurée (avant 45 ans).

La nutrition est un déterminant majeur de la santé, comme le dit le dictons « on est se que l'on mange », le surpoids et l’obésité étant principalement dus à un déséquilibre énergétique entre calories consommées et dépensées, il est possible d’enrayer ce phénomène (et les difficultés qui en découlent) en adoptant une alimentation saine et la pratique d’une activité physique régulière.

Le gouvernement Français a adopter en 2001 le Programme national nutrition santé (PNNS), qui vise à améliorer la santé de la population par des actions et des mesures nutritionnelles (grandement de la sensibilisation) celui-ci a été reconduit en 2006 (PNNS 2), puis en 2011 (PNNS 3) et sa 4e  édition est en cours d’élaboration par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP).

Lors de son remaniement en 2011 des mesures sur la restauration scolaires ont été mises en place notamment pour l'amélioration de la qualité des repas est multi-factorielle : nutrition, goût, environnement et temps du repas.

Ceci est concrétisé par l'article L.230-5 de la loi qui impose la qualité nutritionnelle des repas pour les services de restauration scolaire et universitaire ainsi que des services de restauration des établissements d'accueil des enfants de moins de six ans, des établissements de santé, des établissements sociaux et médicaux et ils sont tenus du choix des produits entrant dans la composition de ces repas devant être variés et privilégier les produits locaux.

L’enjeu est de taille, il s'agit d'éduquer aux nouvelles générations a l'importance d'un repas sain et équilibré ainsi que de sa fonction sociale qui est de rassembler les individus et permettre les discutions.

Pour conclure les habitudes alimentaires de nos générations actuelle ne sont pas saines et pour éviter au génération en puissance de s'exposer a des habitudes nocives nous devons réagir et pousser a bout toutes les mesures ayant été prisent, mais face au lobbies agro-alimentaires et a la drogue que repente la restauration « prêt a consommer »(avec ces exhausteur et arômes artifices ainsi que le sucre) pour les populations les habitudes sont difficiles a changer.