L'avenir de notre alimentation : cap sur 2050

L'alimentation mondiale pose question. Pourrons nous tous manger en 2050 ?

la situation actuelle alimentaire mondiale est désastreuse, mais l'avenir laissent quand même entrevoir des solutions pour nôtre avenir, pour lesquelles les acteurs des filières de l'agro alimentaire, les politiques, et principalement les consommateurs devrons opérer de grands changements.

D'ici 2050, la Terre devrait abriter plus de 9 milliards d'habitants... qu'il faudra nourrir. Pour certains, cette évidence ne devrait pas poser problème si d'importants efforts sont entrepris. Mais pour d'autres, cette situation serait problématique, mais l'agriculture suivra t elle ?

Si les idées ne manquent pas pour pallier ce problème, elles partent dans toutes les directions. Certains voudraient s'affranchir des élevages en produisant de la Viande in vitro.

D'autres envisagent plutôt de construire des fermes verticales à la périphérie des villes car les surfaces agricoles pourraient manquer. Enfin, un grand nombre de spécialistes sont plus pragmatiques et estiment simplement qu'il suffirait d'améliorer nos modes de productions agricoles, tout en développant de nouveaux modèles agroéconomiques.

925 000 000 de personnes dans le monde souffre de malnutrition dont 56% en Asie et 24% en Afrique subsaharienne.

 Plusieurs études le confirment, nous pourrions nourrir 9 milliards de personnes à l'horizon 2050. Les potentiels ensurfaces agricoleset en rendement sont largement suffisants. Environ 1,5 milliard d'hectares de terre seraient actuellement cultivés. D'après des estimations récentes, ce chiffre pourrait augmenter de 30 %, tout en tenant compte de l'emprise croissante des villes et des infrastructures industrielles et de connexion sur les champs. « Mais le problème de la répartition de l'alimentation mondiale va rester entier si rien de plus n'est fait.Il ne suffit pas d'augmenter la production,il faut aussi la réorienter, par exemple en stimulant le développement agricole là où l'on en a besoin, dans les pays du Sud, tout en respectant l'environnement. »

la science et l’innovation ont également leurs rôle a jouer. En effet selon les estimation d'ici 2050 un vrais steak de bœuf pourrait coûter 300 000 euros.

Dans ce cas là il vaudrais mieux pour nous que nous ayons trouver des alternatives.

Nous pouvons déjà observer les débuts de celles-ci avec le Soylent qui est une poudre que l'on mélange avec de l'eau pour obtenir un goût de « carton bouillit » contenant tout les nutriment d'un repas.

son inventeur, Rob Rhinehart,(californien de 27 ans) s'est nourri uniquement de Soylent pendant un mois. Résultat : il était en pleine forme et les investisseurs se sont bousculés pour lui apporter des fonds.

D'autres alternatives encore plus folles ont vus le jour, tel que des cubes de gelées a base d'algues ou bien même d'insectes issus d'imprimantes 3D, tel est le projet Nourished (Los Angeles) le but étant de donner l'illusion de bons morceaux de viande grâce a un casque de réalité virtuelle, un générateur d'arôme et une fourchette connectée.

Enfin nous avons pus apprécier le fait que l'avenir alimentaire de l'humanité reste incertain mais de nombreuses pistes commences a être exploitées, mais tout résidera dans la question de la répartition de la nourriture

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