Edito
Actuellement, 25 000 personnes meurent de faim tous les jours à travers le monde ; tandis qu’en France, chaque année, 10 millions de tonne de nourriture sont jetées (x3.5 pour les USA).
Selon l’OMS en 2016, plus de 1.9 milliard d’adultes étaient en surpoids (IMC > à 30). La malbouffe (qui désigne un régime alimentaire contenant de fortes quantités de sucre ainsi que de graisses saturés, il est de se fait jugé très néfaste pour l’organisme sur le plan diététique, car la valeur nutritive est très faible) est un problème majeur des pays développés. Rien qu’en France, 48% des français sont au dessus du seuil d’obésité. De plus, l’obésité tue, chaque année, plus que le tabac, l’alcool et le sexe réunis.
Chez les jeunes, ce phénomène est moins flagrants : 19% sont en surpoids. De plus, on peut noter que les ménages dont le revenus est inferieur à 1500€ par mois, 1 enfant sur 4 est en surpoids, tandis que les ménages qui ont un revenus supérieur à 3000€, 1 enfant sur 10 est concerné.
Les scientifiques ont démontré que l’abus de ses aliments saturés peut avoir des effets néfastes sur la santé, et plus particulièrement sur le cerveau des jeunes enfants (altération de la mémoire, dépression, comportements puérils et agressifs…)
Nous pouvons apprécier ces différents problèmes liés à l’alimentation dans le monde, et nous étudierons comment nourrir les jeunes plus sainement.
Pour cela, nous nous pencherons premièrement sur la sur nutrition ainsi que la sous-nutrition ; puis deuxièmement, sur les solutions pour que les jeunes mangent plus sainement, et également par quels moyens nous pouvons imaginer une meilleure répartition de la nourriture dans le monde.
Nous pouvons également rappeler que les engrais chimiques ainsi que les excréments d’animaux répartis ensemble sur une parcelle agricole, libèrent des micros particules de basse altitude, qui, en se mélangeant, forme de l’ammoniac, qui est très toxique pour l’organisme humain. Les polluants restant sont alors lessivés dans les sols, et polluent les cours d’eau et les nappes phréatiques. L’agriculture fait donc face à un enjeu écologique afin de limiter ses intrants, pour nourrir plus sainement toute la population.